Lecture : « La Grande Roue » de Diane Peylin (Rentrée littéraire Janvier 2018)

Été 1986. Emma rencontre Marc au pied d’une Grande Roue. Elle a dix-neuf ans, et le cœur d’une poupée. Lui est déjà un homme. Commence entre eux une histoire d’amour. Intense. Urgente. Si forte qu’on en oublierait que les plus beaux contes cachent parfois des ogres…
Au côté d’Emma, il y a Tess qui avance dans la nuit, David au sommet d’une montagne et Nathan dans le bureau d’un flic. D’autres destins, d’autres chaos.
Les blessures de la vie les ont isolés du reste du monde. Ils marchent. Trébuchent. Se relèvent. À la recherche de leur identité.

La Grande Roue – Diane Peylin

Éditeur : Les Escales (11 janvier 2018)

Pages : 251

Ma note : 4,25/5

Mon avis :

Emma aime follement Marc. Marc est son tout. Emma est sa poupée. Marc fait exister Emma. Emma se sent vivre passionnément. Marc la bouscule. Emma le réconforte. Marc la chahute. Emma minimise. Marc se fait pardonner. Emma est sa poupée, plus que jamais. Marc l’insulte. Emma pleure. Marc la couvre de cadeaux et de baisers. Emma sourit. Marc lui fait deux enfants. Emma les aime plus que tout au monde et la louve qui est en elle gronde. Marc lève la main. Emma faiblit. Marc est violent. Emma sombre et se ment.  Lire la suite

Lecture : « La fille sous la glace » de Robert Bryndza (Rentrée littéraire Janvier 2018)

Le froid a figé la beauté de ses traits pour l’éternité.

La mort d’Andrea est un mystère, tout comme l’abominable secret qu’elle emporte avec elle…

Connue pour son sang-froid, son esprit de déduction imparable et son verbe tranchant, l’inspectrice Erika Foster semble être la mieux placée pour mener l’enquête. En lutte contre ses propres fantômes, la super flic s’interroge : peut-elle encore faire confiance à son instinct ? Et si le plus dangereux dans cette affaire n’était pas le tueur, mais elle-même ?

Sur la glace, aucun faux pas n’est permis.

La fille sous la glace – Robert Bryndza

Éditeur : Belfond Noir (25 janvier 2018)

Pages : 435

Ma note : 4/5

Mon avis :

C’est un polar glaçant que j’ai eu plaisir à lire. La DCI Foster qui enquête sur le meurtrier de la jeune fille bourgeoise découverte dans un lac gelé m’a plu et comme c’est un premier tome d’une saga avec cette inspectrice, c’est un bon point.  Lire la suite

Lecture : « Phobos » (tome 1) de Victor Dixen

Six prétendantes.
Six prétendants.
Six minutes pour se rencontrer.
L’éternité pour s’aimer.

Ils veulent marquer l’histoire Avec un grand H.
Ils sont six filles et six garçons, dans les deux compartiments séparés d’un même vaisseau spatial. Ils ont six minutes chaque semaine pour se séduire et se choisir, sous l’œil des caméras embarquées.

Ils sont les prétendants du programme Genesis, l’émission de speed-dating la plus folle de l’Histoire, destinée à créer la première colonie humaine sur Mars.

Elle veut trouver l’amour avec un grand A.
Léonor, orpheline de dix-huit ans, est l’une des six élues. Elle a signé pour la gloire. Elle a signé pour l’amour. Elle a signé pour un aller sans retour…

Même si le rêve vire au cauchemar, il est trop tard pour regretter.

Phobos, tome 1 – Victor Dixen

Éditeur : Robert Laffont (réédition du 23 novembre 2017 – 1ère parution en 2015)

Pages : 433

Ma note : 4,5/5

Mon avis :

La science-fiction n’est clairement pas mon genre de prédilection, pourtant j’ai adoré le premier tome de cette saga cosmique !  Lire la suite

Concours : Gagnez la revue PAGE N°188, un sac, un carnet et un marque-page !

Dans le cadre de notre partenariat annuel, j’ai le plaisir de vous proposer à nouveau un concours pour remporter la sublime revue PAGE des Libraires mais pas que ! PAGE fête ses 30 ans alors ils ont décidé de vous gâter en y ajoutant des goodies !

Nous vous proposons donc de remporter la très jolie revue PAGE comportant une multitude d’avis de libraires à propos des sorties littéraires récentes & des interviews d’auteurs, mais aussi un sac en toile, un carnet et un marque-page. Il y aura 3 gagnantsJe tente ma chance

Concours des 2 ans du blog : Les résultats !

Bonjour à tous,

Il est déjà temps d’annoncer les trois gagnants de mon concours pour les 2 ans de mon blog. Je vous remercie tous pour vos participations !

En prenant en compte le blog et Facebook, 30 numéros ont été attribués pour le lot Le Piège de Melanie Raabe, 25 pour T’en souviens-tu, mon Anaïs ? et autres nouvelles de Michel Bussi, et 24 pour Am Stram Gram de M.J. Arlidge.

Je ne vous fais pas languir davantage, voici les personnes qui ont été tirées au sort ce jour :  Je découvre les gagnants

Lecture : « L’enfant de mon mari » de Deborah O’Connor (Rentrée littéraire Janvier 2018)

Heidi et Jason ne forment pas un couple ordinaire : elle a perdu sa petite fille, il cherche désespérément son fils, Barney, enlevé cinq ans plus tôt. Ces drames les ont rapprochés. Un jour, en déplacement pour son travail, Heidi aperçoit dans une arrière-boutique un garçon qui pourrait bien être Barney. Emmené sur place, Jason refuse d’y croire. Mais Heidi n’en démord pas. L’intuition vire à l’obsession, et la jeune femme se plonge dans une enquête qui fragilise son couple. Jason lui cache-t-il quelque chose ? L’impossible deuil de sa fille a-t-il rendu Heidi paranoïaque ? À qui peut-elle se fier ? Mais surtout, qui est cet homme trouble qui accompagne le petit garçon partout ? Une adrénaline de chaque instant, jusqu’au dénouement, dérangeant et moite.

L’enfant de mon mari – Deborah O’Connor

Éditeur : Presses de la Cité (18 janvier 2018)

Pages : 351

Ma note : 4/5

Mon avis :

Plongée au sein d’un couple meurtri par la disparition de leurs enfants.  Lire la suite

Lecture : « Juste une orangeade » de Caroline Pascal (Rentrée littéraire Janvier 2018)

Raphaëlle est sans nouvelles de sa mère depuis lundi. Deux jours, ce pourrait n’être rien, et pourtant, cette absence est anormale, ce silence inquiétant.

Les heures passent, le temps s’étire, l’angoisse monte. Jour après jour, les inconnues se multiplient pour révéler la part cachée d’une vie que Raphaëlle croyait transparente et le portrait d’une étrangère se dessine derrière le discret veuvage bourgeois.

Soudain seule au milieu d’une vie comblée, Raphaëlle recompose le récit de sa relation avec sa mère, d’occasions ratées en gestes oubliés, de ressemblances voulues en reconnaissances espérées, de malentendus en aveuglements. À mesure que s’égrène le compte à rebours de la détresse, s’impose à elle la réalité d’une disparition, dont le point d’orgue se jouera quelque part au fond de la province.

Juste une orangeade – Caroline Pascal

Éditeur : Éditions de l’Observatoire (10 janvier 2018)

Pages : 246

Ma note : 4/5

Mon avis :

Juste une orangeade est un concentré de liens familiaux, en particulier celui qui unit une mère et sa fille. C’est l’amour qu’elles se portent, c’est la peur de perdre la figure maternelle, c’est ce que l’une croit connaître de l’autre, c’est une introspection de cette relation toute particulière et forte.  Découvrir la suite