Lecture : « L’Ile du Diable » de Nicolas Beuglet

La vengeance est affaire de mémoire…

Le corps recouvert d’une étrange poudre blanche, des extrémités gangrenées et un visage figé dans un rictus de douleur… En observant le cadavre de son père, Sarah Geringën est saisie d’épouvante. Et quand le médecin légiste lui tend la clé retrouvée au fond de son estomac, l’effroi la paralyse. Et si son père n’était pas l’homme qu’il prétendait être ?
Des forêts obscures de Norvège aux plaines glaciales de Sibérie, l’ex-inspectrice des forces spéciales s’apprête à affronter un secret de famille terrifiant. Que découvrira-t-elle dans ce vieux manoir perdu dans les bois ? Osera-t-elle se rendre jusqu’à l’île du Diable ?

L’Ile du Diable – Nicolas Beuglet

Éditeur : Pocket (03 septembre 2020)

Pages : 303

Ma note : 4,5/5

Mon avis :

Après Le Cri et Complot, voici le troisième tome des enquêtes de Sarah Geringën qui ne m’a pas déçue non plus ! Je l’ai dévoré, comme ses prédécesseurs.
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Lecture : « Les déviantes » de Capucine Delattre

Le monde d’Anastasia s’est effondré.
À 29 ans, elle avait l’argent, la stabilité, le prestige. Hier encore, elle exerçait de hautes fonctions dans une grande entreprise. Une conquérante, Anastasia. Toujours en avance sur son monde. Même pour son cancer du sein.
Pour la première fois de sa vie, la voilà limitée. Pourtant, la maladie n’est pas le sujet de son histoire. Plutôt un point de départ, un détonateur. Un accélérateur. Un catalyseur.
Anastasia devient une déviante, celle par qui tout commence, capable d’attirer dans son sillage deux déviantes en germe, Iris et Lolita. Ensemble, elles vont prendre goût au saccage de leurs courtes existences et s’autoriser à déployer leurs rêves.
À elles trois, elles incarnent une jeunesse qui refuse de se laisser abîmer, une vocation en marche et, surtout, la possibilité de nouvelles trajectoires.

Les déviantes – Capucine Delattre

Éditeur : Belfond (20 août 2020)

Pages : 257

Ma note : 4,5/5

Mon avis :

Ce roman, c’est le premier d’une auteure de 19-20 ans qui m’a éblouie par sa maturité, par l’expérience de vie que personne n’est censé avoir à cet âge-là. C’est comme si Capucine Delattre avait déjà vécu mille et une souffrances, mille et une résurrections. Comme si elle avait déjà tout compris. C’est merveilleux de réalisme et de justesse. Et cette écriture…
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Ma recette de shampooing solide ayurvédique ! (vidéo)

Bonjour à tous,

Aujourd’hui, je vous partage la recette que j’ai concoctée pour mon shampooing solide ayurvédique.

Il est agréable à utiliser, il est efficace, il mousse alors qu’il ne contient que 20g de SCI. Il est testé et approuvé !

C’est par ici (clic clic sur l’image pour accéder à la vidéo tuto) :

Un commentaire par là-bas, un like et un abonnement à la Chaîne me feraient grandement plaisir ! Et cela m’encouragerait à continuer à partager avec vous toutes ces petites choses du quotidien qui font du bien 🙂

À bientôt !

Lecture : « Un cœur en sourdine », Alexandra Pasquer

1978. Marie habite à Sherbrooke, dans le sud du Québec. Devenue couturière, elle est mariée à Ghislain depuis une trentaine d’années – une union heureuse qui leur a donné six beaux enfants. 
1944. Quand John est mobilisé, ce n’est pas de gaieté de cœur qu’il part pour la France. Mais les Alliés ont besoin de lui. Le débarquement changera à jamais son existence, ainsi que celle de Wendigo, l’Amérindien qui l’accompagne et avec qui, très vite, un lien profond s’est créé, à la vie, à la mort. Marie, la Canadienne française, est restée au Québec. John, le Canadien anglais, s’est installé en Normandie. Ils venaient de se rencontrer, mais un océan les a séparés. 
La guerre a brisé des rêves… Et si, des années plus tard,  les souvenirs du passé revenaient hanter le présent ?

Inspiré de faits réels, Un cœur en sourdine raconte ces vies prises dans le tumulte des événements, bousculées par le destin, par la distance et par les choix qu’on nous impose. Une évocation vibrante et émouvante du Canada, de ses habitants et de son histoire parfois douloureuse, mais où tous les espoirs sont permis.

Un cœur en sourdine – Alexandra Pasquer

Éditeur : Préludes (7 octobre 2020)

Pages : 251

Ma note : 3,75/5

Mon avis :

Je n’avais encore jamais lu de roman mettant en avant les canadiens et les amérindiens durant la Seconde Guerre Mondiale, c’est donc un point positif de ma lecture d’Un cœur en sourdine. Les quelques expressions canadiennes disséminées au fil des chapitres m’ont d’ailleurs arraché quelques sourires.
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Lecture : « Le bruit des avions » de Sophie Reungeot

Deux vies se percutent, une amitié naît.

Vendredi 13 – Paris 11e. Audrey s’engouffre dans le premier taxi venu et prend place sur le siège passager. À l’arrière, il y a Laura, qui n’avait pas prévu de débarquer avec une inconnue chez sa mère, au 18e étage d’une tour au sud de la capitale.

Ce qui était prévu et ce qui ne l’était pas, c’est tout l’enjeu de cette nuit particulière et de celles qui viendront. Car les heures blanches qui suivent l’attaque au Bataclan agissent comme un révélateur pour ces deux jeunes femmes si diamétralement opposées, qui prennent la mesure de ce qu’étaient jusqu’alors leurs vies. Des vies écrites sur des rêves qui n’étaient pas toujours les leurs et dont il ne reste qu’une empreinte, des costumes endossés malgré les coutures qui craquent, des énigmes familiales jamais percées auxquelles il faut s’atteler. Parce que le temps presse.

Une histoire de providence ? Une amitié comme un coup de foudre pour commencer. Et la route que vont prendre Laura et Audrey au son de vieilles cassettes poussées au maximum, pour tenir le trouble à distance et embrasser le présent. De Paris à Las Vegas en passant par Berlin, l’épopée sur un air de Kate Bush peut commencer.

Le bruit des avions – Sophie Reungeot

Éditeur : Harper Collins, Traversée (7 octobre 2020)

Pages : 281

Ma note : 3,5/5

Mon avis :

Ce roman aux saveurs d’amitié et de secrets de famille fut agréable à lire mais il n’a pas su me transporter complètement.
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